Catégories : Aux pieds des femmes Champagne doré pipi culotte uro Golden shower
il y a 4 ans
Je suis secrétaire depuis 15 ans dans une société en conseils financiers composée de 35 salariés. J’ai pendant longtemps apprécié mon métier, mais ces derniers mois l’ambiance est devenue pesante. Nous avons eu un renouvellement des personnes dirigeantes et un jeune cadre arriviste même pas trentenaire a pris les commandes de la société.
Ce jeune loup est l’archétype du cadre financier imbu de sa personne, arrogant et n’ayant que peu d’estime pour ses subalternes. Je le soupçonne de prendre régulièrement de la cocaïne car il change d’humeur assez fréquemment et passe par des périodes de grande excitation.
Alors que les premières semaines s’étaient bien passées, mes relations professionnelles avec ce jeune homme se sont détériorées ; il fait souvent montre d’agressivité, me reprochant à tort diverses choses et n’hésitant pas à jouer les goujats avec des allusions sexuelles minables à la limite du harcèlement. Les journées sont de plus en plus éprouvantes, et pour la première de ma vie mes problèmes professionnels ont un impact négatif sur ma vie privée. J’en suis vraiment à détester ce petit m e r d e ux.
Ce début de semaine fut particulièrement tendu. Souhaitant boucler plusieurs dossiers avant les vacances, il m’a affecté une charge de travail inhabituelle. Le jeudi matin, comble de malchance, mon adjointe m’appelle pour me signifier qu’elle est en arrêt maladie. Ce qui m’affecta le plus dans cette nouvelle est que j’allais me retrouver l’après-midi seul avec mon supérieur.
Nous étions fin juillet ; les trois quarts des personnes étaient en vacance et les autres en clientèle. La chaleur en ces jours-ci était à son comble. J’avais opté pour une tenue vestimentaire très estivale avec une jupe courte et des escarpins ouverts à talons assez élevés. Comme prévu, je me retrouvai l’après-midi seule avec mon supérieur dans cet open-space qui ne m’avait jamais paru aussi grand.
Il était revenu plus tard que d’habitude du déjeuner que je devinai alcoolisé vu son haleine avinée et ses yeux brillants. Me sachant seule, je m’étais installée sur le canapé en cuir de l’accueil pour relire un dossier en plaçant mes jambes sur la table basse. Mon supérieur semblait troublé ; était-ce l’effet de l’alcool ou celui d’une D r o g u e ? En tout cas il me pressa de question diverses comme à son habitude mais semblait préoccupé.
— Sébastien, avez-vous quelque chose à me dire ?
— Non ; mais vous savez, j’ai tellement de choses à régler… c’est vraiment difficile de devoir tout gérer par soi-même.
Je pris cette remarque comme un reproche ; cela m’agaça car je faisais pourtant le maximum, et cela sans la moindre reconnaissance. Mais au-delà de ma colère contenue, je remarquai dans son regard quelque chose qui ressemblait à de la concupiscence. Ce qui me troublait le plus, c’est qu’il avait sans cesse ses yeux qui dérivaient sur jambes et sur mes pieds. Il essayait de mater avec discrétion, mais c’est clair qu’il faisait une fixation.
En un instant, je me remémorai la liaison qu’avait entretenue ma meilleure amie avec un homme aux mœurs sexuelles particulières. Elle m’avait raconté tous les détails croustillants, et notamment le fait que cet homme prenait son plaisir à se retrouver au pied des femmes pour les leur masser ou les embrasser sans discontinuer. Ce fétichisme des pieds féminins était accompagné de fantasmes de soumission, et plus mon amie s’amusait à l’humilier, plus il demandait à être soumis et devenait docile. Elle arrivait à en faire ce qu’elle voulait. Mon amie se lassa finalement de la situation, mais j’avoue avoir été très intéressée par la description de cette relation. Je fis donc le lien avec les regards insistants de mon supérieur sur mes chaussures. Était-ce le même type d’homme ? Si oui, pourquoi ne pas profiter de son talon d’Achille ?
— Sébastien, je remarque que vous semblez beaucoup aimer mes escarpins à talons ; est-ce que je me trompe ?
Surpris par la question, il se mit aussitôt sur la défensive en bredouillant quelques excuses minables :
— Non… j’avais juste… le regard dans le vague.
Je décidai alors d’y aller de manière plus maligne :
— Vous aimez les femmes en talons ?
— Oui, j’adore cela.
— Et comment trouvez-vous mes chaussures ?
— Elles sont superbes !
Sa réponse fut directe et enthousiaste ; je tenais le bon bout, il fallait que je passe à l’étape supérieure.
— Voulez-vous me déchausser pour mieux les apprécier ?
À ma grande surprise, sa réaction fut immédiate : il s’approcha de moi, se mit à genoux et me retira délicatement mes escarpins. Il semblait hypnotisé par ces derniers.
— Je pense qu’elles ne brillent pas assez ; voulez-vous vous en occuper pendant que je finis de relire un dernier dossier ? D’ailleurs je vais m’asseoir à votre bureau et vous allez vous mettre au pied du mien.
Il s’exécuta sans broncher. Je ressentis à ce moment-là une envie d’exercer le pouvoir sur un homme qui me maltraitait depuis plusieurs semaines.
— Sébastien, en fait, c’est surtout au niveau des semelles que mes escarpins ont besoin de nettoyage ; veuillez les nettoyer avec votre langue, je pense que cela sera plus efficace.
Pendant qu’il léchait de manière pathétique le dessous de mes escarpins à genoux au pied de mon bureau, je m’installai à son bureau et commençai à trier quelques papiers. Je tombai sur un papier où il avait notifié ses impressions premières qu’il avait eues sur tous les employés de la société. Quand je vis mon nom, je vis qu’il me qualifiait de cruche bonasse aux gros seins juste bonne à servir le café, mais au potentiel sexuel intéressant. Cette découverte me mit hors de moi. Je me précipitai vers lui, instinctivement l’attrapai par les cheveux et lui mis son visage devant la feuille.
— Peux-tu m’expliquer cela ?
— Cela ne vient pas de moi…
— Sale porc ! Je reconnais ton écriture. Nous allons remettre les choses à leur place. Déshabille-toi entièrement !
Il se retrouva en slip, debout devant moi.
— Je t’ai dit entièrement. Allez, vire-moi ce slip !
Son slip tomba à ses pieds et je vis immédiatement que sa queue était incroyablement raide. D’ailleurs ce salaud était très avantagé par la Nature : sa queue était d’une dimension impressionnante et ses couilles ressemblaient à deux grosses boules de pétanque. De ce côté-là, il était bien fourni ! Je restai plusieurs secondes à l’observer, puis l’envie me prit de caresser ce membre pour lui fournir une excitation supplémentaire. J’attrapai ses couilles avec mon autre main. Mon Dieu, qu’elles étaient grosses et particulièrement douces ! Je repris mes esprits pour lui donner l’ordre suivant :
— Maintenant tu vas finir le travail que tu m’as donné pour cette fin de semaine. Ne t’inquiète pas : je vais fermer la porte d’entrée afin que personne ne puisse nous déranger.
Je le laissai travailler ainsi pendant plus d’une heure. Ce qui était incroyable, c’est que sa queue ne perdait pas de sa vigueur. Au bout d’un moment je l’interpellai :
— Veux-tu me ramener un café ?
Il s’exécuta et me servit avec délicatesse.
— Maintenant, je veux te voir à plat-ventre au sol, à mes pieds pour les masser et les embrasser tendrement.
La situation était délicieuse : mon patron nu à mes pieds, prêt à répondre à toutes mes exigences. Il me baisait les pieds avec délicatesse. Je le fis mettre sur le dos pour me servir de son visage en guise de repose-pieds. Ma colère cependant n’était toujours pas retombée. Je ne voulais pas en rester là, j’estimais que ma vengeance n’était pas encore totale. Je repensai alors à mon amie avec son amant soumis ; elle me racontait qu’elle se servait de lui aux toilettes et qu’elle avait pris l’habitude de se servir de la bouche de son soumis pour lui uriner dedans. C’était le signe de soumission ultime. Je me décidai à lui faire subir le même sort.
— Maintenant, tu vas venir m’accompagner aux toilettes ; j’ai un dernier travail à te faire faire.
Je le pris par les cheveux et le fis me suivre à quatre pattes aux toilettes femme.
— La femme de ménage m’a souvent fait remarquer que les toilettes homme étaient une vraie porcherie. Je vais t’obliger à te mettre à sa place, mais de manière différente.
Je le fis positionner sa tête en arrière devant la cuvette des toilettes. Par contre, je ne souhaitais en aucun cas qu’il puisse entrevoir ma chatte. Je trouvai un chiffon destiné au nettoyage des toilettes pour lui bander les yeux. Il était prêt. Je restai un instant à le toiser et je me rendis compte qu’il n’avait opposé aucune résistance. Il prenait certainement du plaisir à être traité ainsi, vu l’état de sa queue. D’ailleurs cela me contraignait de savoir que je lui permettais de se procurer des sensations qu’il devait trouver agréables, mais je décidai de passer outre. Il fallait avant tout remettre les choses à leur place et assouvir mon désir de vengeance.
Je retirai ma culotte puis me positionnai devant lui afin de pouvoir vider ma vessie dans sa bouche.
— Ouvre la bouche ; tu vas me servir de toilettes. Attention : aucune goutte ne doit sortir de ta petite bouche, tu vas devoir tout boire.
Je commençai à envoyer un premier jet ; je me rendis compte qu’il était difficile d’atteindre avec précision l’endroit souhaité. Une partie éclaboussa son visage. Afin d’avoir un meilleur résultat, je le pris par les cheveux et avançai ma chatte au plus près de son visage afin de gagner en précision. Il profitait ainsi totalement de mon jet puissant, ce qui lui provoqua un étouffement : sa bouche était pleine, il fallait que lui laisse le temps de tout avaler.
Je finis ainsi de me vider la vessie. Je pris ma culotte et la lui enfonçai dans la bouche, comme pour mettre un terme à sa douche dorée. Je lui retirai son bandeau, pris un peu de recul et le toisai avec délice.
— Pauvre minable… Ta position de supérieur est vraiment mise à mal, cet après-midi. Ce qui est le plus pathétique, c’est de voir que tu gardes la queue raide après tout ce que je viens de t’infliger !
Il fallait imm o r t aliser cet instant. Je pris mon smartphone et pris plusieurs photos de mon supérieur dans cette position d’infériorité.
— Maintenant je te tiens ; donc si tu continues à m’emm e r d e r dans mon travail, je publie ces photos illico dans la boîte mail de tous nos collègues. Que vont-ils penser de leur chef en train de bander comme un âne après s’être fait pisser dessus aux toilettes des femmes avec une culotte féminine dans la bouche ? Donc je crois que tu as compris, non ?
Il me fit signe de la tête pour donner son accord. Je lui retirai ma culotte de sa bouche que je remis dans mon sac. Pas question de remettre cette culotte avec la bave de cette ordure. Tant pis, je pris le risque de rentrer sans culotte. Il fallait juste que mon mari ne s’en aperçoive pas.
— La femme de ménage ne va pas tarder à arriver ; tu vas donc remettre les choses en ordre. Je veux des toilettes nickel !
Puis en un instant, devant son regard apeuré j’eus une pulsion d’indulgence. Je m’approchai doucement de lui puis commençai à attr a p e r sa queue toujours bandante. Je commençai doucement à le branler.
— Je dois t’avouer que tu as une belle queue avec une vigueur incroyable ; c’est certainement ce qu’il y a de mieux chez toi.
Tout en continuant à le branler en douceur je lui demandai en chuchotant :
— As-tu aimé cet après-midi ? As-tu aimé te comporter comme le larbin de ta secrétaire ? Seras-tu désormais toujours ainsi avec moi ?
— Oui, je te le promets.
— Merci, c’est que je voulais entendre. Est-ce que tu souhaites que je te fasse jouir ?
— Oui, s’il te plaît.
Je souris tendrement, accélérai le rythme, et au moment où je sentis qu’il allait craquer, je m’arrêtai net. Je laissai passer quelques secondes. Il était au bord de la jouissance. Je le voyais presque en train de tirer la langue comme un chien avec des yeux me suppliant de finir le travail. Je lui attrapai ses grosses couilles ; elles étaient douces. Puis tout en exerçant une pression de plus en plus forte sur ses boules, je le regardai dans les yeux et lui dis :
— Tu as vraiment cru que j’allais te faire jouir ? Pauvre minable ! Crois-tu vraiment mériter cela ? Si tu veux te vider les couilles, je t’autorise à le faire seul, assis devant ces toilettes au milieu de cette flaque de pisse. Moi, je rentre. N’oublie surtout pas que tout est dans mon smartphone. Bonne soirée, Monsieur le Supérieur.
Je pris mes affaires. En jetant un dernier coup d’œil sur mon patron, je vis qu’il se branlait. Cela me dégoûta. J’étais satisfaite : ma vengeance sur cet homme avait été totale.
Andrea380
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